Direction déjà controversée, expertise invisibilisée, réforme opaque… Les mauvais signaux s’accumulent avant la fusion de l’ASN et de l’IRSN. Les deux organismes du nucléaire seront réunis au 1er janvier.
Que ressent-on lorsque l’on quitte son bureau à la veille de congés obligatoires, en sachant que l’organisation pour laquelle on travaille n’existera plus le 1er janvier ? Inquiétude, colère, tristesse et amertume, répondraient sans doute les quelque 1 800 salariés de l’IRSN, (…)
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